Né en 1971 Yves Malenfer a sillonné le monde au grès des expatriations de ses parents (moyen orient, Norvège) durant lesquels il a développé son gout pour les cultures du monde et aiguisé son regard des paysages variés traversés. Son père ingénieur géologue, musicien et photographe l’initie très tôt à l’art photographique.
Après des études de droit, il débute une carrière d’avocat en droit financier au sein d’un prestigieux cabinet de droits des affaires francais (GLN) mais qu’il quitte rapidement.
Il rejoint par la suite le domaine des expertises judiciaires au sein d’un important cabinet de géomètre expert. A cette occasion, il reprend l’activité photographique pour réaliser des photographies techniques et d’architecture (orthophotographies des façades du Château de Versailles, photos techniques du chantier de rénovation des étages de la Tour Eiffel, audit des ouvrages d’art de la ligne T2 du Tramway entre La Défense et Issy les Moulineaux) et des reportages de communication.
En parallèle il se spécialise dans le reportage événementiel, industriel et d’illustration pour des prestataires comme Auditoire pour le compte de sociétés comme Facebook, Renault, La SNCF, Stanwell. Il fait partie des premiers photographes à s’intéresser aux joueurs professionnels de jeux vidéos au début des premières compétitions internationales de E-Sport.
Il documente également durant une longue période l’évolution de la musique électronique à Paris en collaborant avec de nombreux magazines spécialisés et en couvrant les différentes scènes, soirées et labels leaders dans ce domaine dans les années 2005 – 2010. Ses photos font l’objet de publications dans les ouvrages récents et qui retracent l’histoire de la musique électronique (20ans de musiques électroniques par Trax chez Hachette). Il apparaît également dans l’exposition « Electro » à la Philharmonie de Paris visible jusqu’au 11 aout 2019 à Paris avant de rejoindre Londres au printemps 2020.
Il développe également sa pratique du portrait et du photoreportage au sein d’institutions publiques comme le Ministère de l’Intérieur ou Matignon.